Comment aider l’association ?

Votre aide est essentielle

Les écoles indépendantes, comme celle que nous créons, ne reçoivent ni subvention des collectivités, ni aide de l’État. Par conséquent, les seules ressources dont elles disposent, sont issues de généreux donateurs privés et des parents d’élèves. Pour réunir les conditions matérielles nécessaires à l’ouverture de l’école et rendre celle-ci accessible au plus grand nombre, nous faisons appel à votre générosité.

 

Comment nous aider ?

1. Faire un don

Pour faire un don en ligne : cliquer ici

Si vous êtes client Crédit Agricole, vous devez connaitre le programme “tookets” :

2. Proposer un local

Vous disposez peut être d’informations sur un local susceptible d’accueillir l’école.

Contactez-nous sur contact@cles2vie.com

 

3. Intentions d’inscriptions

Le seuil de viabilité du projet,quelque soit l’endroit, est fixé à 10 élèves inscrits sur 10 mois afin de ne pas engendrer un coût de scolarité disproportionné par famille.

En dessous de 6 inscrits, le projet ne pourra pas voir le jour…

Vous pouvez donc très largement soutenir le projet en NOUS FAISANT PART DE VOTRE INTENTION D’INSCRIPTION  DANS NOTRE ECOLE.

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4. Parler et faire parler

Vous êtes élu, psychologue, retraité, artiste, menuisier, assistante maternelle, jardinier ou philosophe… tous vos échanges dans votre propre entourage feront changer les choses. Le moment venu une de vos compétences pourra contribuer à aider l’association de manière directe ou indirecte. Changer de regard sur le monde c’est d’abord ici et maintenant, juste autour de nous.

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »
Et le colibri lui répondit :  “Je le sais, mais je fais ma part”